La enchaînement inversée
À Bucarest, les toits de cuivre oxydés luisaient d’un éclat terne marqué par les premières pluies d’octobre. Dans un famille excentré, à l’abri de certaines regards, une féminité nommée Daciana avait transformé une pièce personnelle en sanctuaire vibratoire. Spécialiste en radiesthésie durant l’adolescence, elle manipulait son